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Un voyage en Islande, terre des extrêmes et des contrastes, à la limite
du cercle polaire, est l’occasion d’une fabuleuse leçon de géologie.
Volcans, glaciers, champs de lave, zones géothermiques, plages de sable
noir composent des paysages sauvages qui, selon le temps et l’éclairage,
évoquent le début ou la fin du monde. Sols craquelés, soulevés,
fumants, bouleversés, laissant apparaître par endroits les entrailles de
la terre, l’Islande était considérée autrefois comme la porte des
Enfers.
Et pourtant, quelque 320 000 habitants vivent sur cette île, la deuxième
d’Europe, dans de paisibles villages côtiers, fiers d’être ancrés à une
île dont la découverte ne laisse jamais indifférent. Car, à l’image de
son relief et de ses couleurs tranchées et crues, l’Islande ne peut
inspirer que des sentiments entiers.
Vous userez jusqu’à la corde votre dictionnaire de superlatifs : il
n’est pas 10 km que l’on fait sans s’émerveiller de la splendeur des
paysages. En un mot, l’Islande est une destination unique (et l’on pèse
nos mots) pour le routard amoureux de nature et de solitude.
Lorsque Bertrand Cantat était en prison en Lituanie pour le meurtre de Marie Trintignant, il eut un droit de sortie de quelques jours. Ce fut au moment des élections, et du duel final Sarkozy versus Royal ou Sarkozy est sortit vainqueur. Cantat est marxiste. Vous comprendrez mieux en écoutant et en lisant.
Voici les paroles :
Tous ces beaux jeux inventés Pour passer devant les premiers Pour que chacun soit écrasé S'il refuse encore de plier Les dégâts, les excès Ils vont vous les faire payer Les cendres qui resteront C'est pas eux qui les ramasseront Mais les esclaves et les cons Qui n'auront pas pas su dire non
Nous on n'veut pas être des gagnants Mais on acceptera jamais d'être des perdants
Pimprenelle et Nicolas Vous nous endormez comme ça Le marchand de sable est passé Nous on garde un œil éveillé Ô la peur, ô le vide Ô la victoire des avides Faut pas bouger une oreille Toutes sortes de chiens nous surveillent Pas un geste, une esquisse Sinon on tourne la vis Nous on n'a rien à gagner Mais on ne peut plus perdre puisque c'est déjà fait
Toi qui viens de loin d'ici Avec Ta peau et Tes os On t'a parlé du paradis On t'a menti, tout est faux Ô mon ami, ô mon frère, tout ce nerf Perdu pour la guerre Tu vas voir tout l'amour Qui traîne au fond du discours Dis, t'en veux des papiers? Dis, tu l'as vu mon palais? T'auras rien, c'est ainsi C'est pas fait pour les perdants, le paradis
Il y a la chair à canon Il y a la chair à spéculation Il y a la chair à publicité Y a tout ce que vous aimez Vous et moi on le sait Le spectacle est terminé Pourtant c'était presque idéal C'était loin du féodal Oh maint'nant c'est foutu Ça fait joli dans ton... Fort intérieur c'est gênant De rejoindre comme ça la cohorte des perdants
Il faut pas se faire d'illusions Mais c'est mieux debout pour l'action Et pour nos âmes, c'est égal Dieu n'est pas dans la bataille Ô messieurs les décideurs De toutes parts, de tous côtés Sachez que profond dans nos cœurs On n'arrête pas le progrès Sous l'Iris, sous la peau Sous les ongles et dans l'étau On pourra toujours refuser De devenir les premiers ou les derniers
Pas de leaders triomphants On s'ra jamais des gagnants ni des perdants