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26 août 2011

Nature : Les dolines, phénomènes géologiques et catastrophes naturelles










 Les dolines, ou "skinholes" en Anglais sont des catastrophe naturelle peu connu, la majorité de ces catastrophes sont en Amérique Centrale et dans quasiment toute les provinces de Chine. 

  Mais qu'est ce donc exactement? 

  A la télé on connaissait les tsunamis, les extraordinaires tempêtes de sables, les chutes de météorites, qui a déjà entendu parler des dolines ?

  C'est simple, un effondrement du sol, imaginez, vous marchez et hop vous vous retrouvez à120 mètres plus bas. Un affaissement rapide et brutal plus ou moins grands, le plus connu se trouve au Belize. Là bas il y a un site touristique très fréquenté par des gens qui voient ça comme une merveille naturelle, mais n'en savent pas plus. 

  La très sainte "Géologies pour les nuls" dit très clairement ceci : 

  "Localisée dans les régions calcaires, la doline résulte de l'érosion karstique des sous-sols. Autrement dit, l'eau (de pluie, par exemple) s'infiltre dans les sols et "dissout" les roches calcaires, formant avec le temps des cavités profondes et circulaires, aux parois raides."

  Il arrive parfois que ce genre de manifestation se produise sous la croûte terrestre, comme au Guatemala et dans la plupart des régions de Chine. Dans ce cas, l'érosion se fait en profondeur et l'on prend conscience du phénomène au moment même de l'affaissement des sols qui découvre ainsi des gouffres dont on ne soupçonnait pas l'existence. 

  Les dolines imprévisibles sont par conséquent dangereuses. Et il y en a dans le monde entier Europe, Afrique, et caetera. 

  En résumé, faites attention ou vous mettez les pieds, on ne vie pas sur terre mais plutôt sur une immense boule de gruyère.

25 juillet 2011

Culture : Tsar Bomba, un enfant de la guerre froide








  Pendant la guerre froide, Américains et Soviétiques préparaient des armes secrètes chacun de leur côté, rien de plus normal entre ennemis jurés. 

  Le sujet comme vous l'avez compris c'est Tsar Bomba! Mise au point par les Soviétiques entre 1960 et 1961, c'est la plus puissante arme nucléaire jamais conçut. Nom de code "Ivan" un prénom répandu en URSS, il y a aussi eut un certain "Ivan le terrible" en Russie mais ce n'est pas le rapport. Ivan un prénom répandu, normal, loin des idées suspicieuse, loin de l'idée de la bombe atomique la plus puissante de l'histoire. 

  Alors il faut parler de cette bombe parce qu'elle existe encore, il faut dire ce qui s'est passé avant et après le test de Tsar Bomba. 

  Les gens qui ont créés cette bombe ont volé des technologies au américains, chose courante à l'époque. Pour ceux qui nient le fait, j'ai moi même dans ma famille éloigné une personne qui a conçut une cuve de gaz qui pouvait contenir plus de gaz que n'importe quel autre. Ce lointain cousin a été participé au salon des inventions à Moscou, les ingénieurs soviétiques ont fait des croquis pris des notes et ne l'ont pas acheté. Ils ne l'ont pas acheté contrairement aux autres pays capitalistes, ils se sont servit de leur notes et de leur croquis pour concevoir exactement les mêmes cuves et les répandre dans tout leur pays. 

Fin de la parenthèse. 

  Pour faire leurs milliers de bombe nucléaire et thermonucléaire ils ont d'abord volés les plans de Little Boy de 1945, et, plus tard dans les années 70-80 la technologie des missiles mach10 (d'où la nécessité pour les américains de placer des anti-missiles en Estonie et en République Tchèque, rappelez vous c'était il n'y a pas très longtemps, l'affaire avait fait un scandale). 

  Alors si Little Boy, largué sur Hiroshima a fait 70 000 mort avec des centaines de nouveaux ossements découverts très récemment, si cette bombe pesait 0,013 mégatonnes de TNT Tsar Bomba quand à elle pouvait contenir 157 mégatonnes de TNT. 

  Pour vous donner une idée, elle fut tester avec 57 mégatonnes le reste étant remplacé par du plomb. Testé en Nouvelle-Zemble, l'archipel au nord de l'Oural, a explosé a 4000 mètres au dessus du sol sur ordre de Nikita Khrouchtchev "pour ne pas que toute les vitres de Moscou éclatent en même temps". 

  Après son explosion une boule de feux d'environ 17 kilomètres de rayon, une hauteur de 64 kilomètres de poussière radioactive responsable de 25% de la pollution radioactive sur Terre, visible a 1000 kilomètres a la ronde, l'onde de choque parcouru la Terre plusieurs fois d'affilées brulant des gens a 300 kilomètres a la ronde. L'impact, un trou bien plus grand que la Corse ! 

  Selon les théoriciens le contenu de Tsar Bomba (157 mégatonnes) associé à une technologie FFF ( fission-fusion-fission ) pourrait facilement rayer la France de la carte. 

  Et pire encore les fuites technologiques Américaines ont donnés aux Soviétiques une vitesse de missiles de 10 000km/h ce qui veut dire que Tsar Bomba peut toucher la planète d'un bout à l'autre en moins de deux heures. 

  Aujourd'hui, on en est à mach 20 et on élabore le .O ( point zéro ) qui sera bien plus puissant que TSAR BOMBA.

18 juillet 2011

Culture : 5 milliards d'années en 24 heures.








Si on prenait tout du début à la fin et qu'on comptait tout sous forme d'une année : 

- 1er janvier , le big bang, la naissance de l'Univers à 00h00 et une seconde. 

- 2 septembre naissance des systèmes solaires et de la Terre. 

- 7 octobre, la vie apparait sur terre sous forme de bactéries. 

- 31 décembre, 22h00, l'humain commence à se dresser sur ses pattes. 23h59 et 56 secondes nait Jésus Christ et 4 secondes plus tard vous finissez de lire mon article.

10 juillet 2011

Anthropologie : Rites amoureux, d'ici et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui.










  


  En se penchant sur les rites amoureux et les codes de séduction des peuples du monde, les anthropologues et ethnologues occidentaux ont découvert que, d'un pays à l'autre, ils changent selon d'infinies variations. 

  S'il est un domaine où la mondialisation n'uniformise pas, c'est bien dans le registre des relations amoureuses ! 

  Ainsi, comme nous le rappelle l'anthropologue Vaughn Bryant, "un acte en apparence aussi élémentaire que le baiser sur la bouche est ignoré d'une partie de la planète : les Inuits et certaines tribus du Pacifique préfèrent s'enivrer des parfums secrétés par les glandes de la peau en se frottant le nez contre le visage de leur partenaire". 

  De Bougainville à Gauguin, jusqu'à Alexandre Jardin, combien d'hommes ont nourri nos imaginaires de sensualités exotiques ? 

  Même si, comme nous le rappelle Mircea Eliade, toutes les cultures reposent sur le mythe du paradis perdu, notre intérêt pour la liberté d'expression des corps dans de nombreuses cultures exotiques ou primitives témoigne des silences et interdits que le christianisme a fait peser sur la nôtre… 

  Pour Jean-Pierre Otto, l'Occident a beaucoup à apprendre du reste du monde et notamment des sociétés primitives dans lesquelles il y a selon lui "une approche, plus lente de l'autre, plus fine, et où la sexualité est toujours investie de sensualité". 

  Sensualité, ou l'art d'éveiller les sens au plaisir comme chez les Mendis, en Nouvelle-Guinée, qui aiment se retrouver dans une case dont le sol est couvert de flocons de canne à sucre mâchée. Assis sur le sol, ils se frôlent délicatement en s'accompagnant de chants, puis lentement le rythme s'accélère jusqu'à l'enlacement. 

  Au Nord, les Inuits, bien au chaud dans leur igloo, préfèrent s'enduire le corps de graisse de phoque. Une fois les ébats terminés, ils se laveront à l'urine. 

 La séduction a partout sa place et partout des critères différents. Selon les peuples, elle se concentre sur un, plusieurs ou sur l'ensemble des sens. 
  
  Ainsi, une scarification sur le ventre de la jeune fille Sara (tribu nomade du Tchad) dont la plaie, saupoudrée de cendres, prendra du relief en cicatrisant, deviendra un motif à la fois esthétique et érotique destiné à troubler les regards. Au Sénégal, le petit pagne ou « bethio » remporte tous les suffrages, y compris chez les jeunes femmes les plus modernes. Entre copines et cousines, elles se réunissent pour danser et désigner celle qui a la plus belle parure sous les regards intéressés des percussionnistes. Un parfum concocté à partir d'encens ainsi qu'une ceinture de perles s'ajoutent pour ravir les nez et titiller les oreilles. 

  Ailleurs, on privilégie certaines boissons pour parfumer sa transpiration, on se blanchit la peau comme le font les jeunes filles indonésiennes. On se couvre de tatouages, on offre à l'homme un aperçu de ses fragrances intimes comme chez les nomades Noubas, au sud du Soudan, qui organisent chaque année une danse rituelle au cours de laquelle, vêtue d'une ceinture tressée, les jeunes femmes choisissent un compagnon en posant la jambe sur l'épaule de celui-ci, lui adressant ainsi un message olfactif. 

  Autant de rites pour séduire les sens et les éveiller, et dans cette diversité une constante : la sensualité. 

  Ici comme ailleurs, le mythe originel de la culture imprègne bien souvent les rites amoureux. S'il est difficile de déterminer de quelle façon la rencontre d'Adam et Ève influence encore les amours chrétiens, dans les îles Banks ou en Malaisie, les parades amoureuses miment encore la création du monde. Au son du pipeau, les peuples réinterprètent la danse à laquelle Dieu les invita en les créant. 

  Les Maoris vivent, quant à eux, au rythme du mythe selon lequel l'amour initie à des parties inconnues de soi-même. Chez ce peuple, où l'expression du désir est extrêmement riche, faire l'amour avec des partenaires différents, c'est donc apprendre à devenir soi-même. 

  En manque d'imagination ? Demandez à ces tribus du nord de la Nouvelle-Guinée de vous parler de leur catalogue des soixante-dix programmes amoureux et sensuels. Transmis oralement depuis la nuit des temps, ces programmes viennent pimenter leurs amours ; pour décider de celui qu'ils mettront en pratique, les deux amoureux potentiels doivent tomber d'accord au cours de discussions qui peuvent durer plusieurs jours, voire plusieurs semaines. Hommes et femmes peuvent pratiquer des parties différentes du programme avec des partenaires différents. Changer de mari pour les femmes qui se considèrent mal mariées ? 

  Une tribu du Niger le propose au cours d'un concours de beauté masculin qui se déroule à la fin de la saison des pluies. Les hommes, travestis, se maquillent en femmes et s'élancent dans une danse devant un jury uniquement composé de femmes. Montrant leurs dents dans un sourire figé, écarquillant les yeux pour qu'on en aperçoive le blanc, signe de bonne santé, cette fête peut durer six jours et six nuits.

  Preuve de la diversité et des étrangetés culturelles, certains peuples survivent en pratiquant des rites amoureux étonnants. Ainsi, chez les Kalash, au Pakistan, hommes, femmes et enfants se travestissent au cours de la fête Chamos et se livrent à un tournoi d'insultes sexuelles. C'est la période d'abstinence hivernale et le « langage de la bite » disent les Kalash sert à resserrer les liens et à régénérer les forces vitales. 

  On trouve chez de nombreuses ethnies d'Océanie et d'Afrique noire un mythe selon lequel le monde aurait été créé par des humains qui, à l'aide de cordes et de poulies, auraient séparé le ciel et la terre, conférant à leurs héritiers la mission de les réunir à nouveau en s'unissant par l'amour. 

  Amour comme alliance cosmique rappelant le Banquet de Platon et l'union parfaite de ces êtres dont Zeus punit l'insolence en les coupant en deux, marquant ainsi nos consciences au fer rouge du mythe de l'âme sœur. 

  L'autre mythe qui a marqué profondément nos mœurs, c'est celui de Noé qui en rejetant toute animalité sur les bêtes a coupé la parole à nos corps, déjà meurtris par le péché originel. 

  Si pour les Grecs, la passion est une aliénation, pour les Romains, un homme amoureux est considéré comme faible. 

  Pour le christianisme, l'amour trop ardent est un péché. Jusqu'au XVIIIe siècle, la population est essentiellement rurale et les femmes restent des objets de transaction dans les mariages arrangés. Pourtant, dès le XIIIe siècle, on célèbre déjà la Saint-Valentin, fête du valentinage, du solstice d'été ou encore fête de mai, période pendant laquelle les épouses peuvent se jeter au cou de leur galantin ; ces fêtes permissives accordent un espace ponctuel où les règles peuvent être transgressées et où le plaisir peut pour un temps s'épanouir. Cette coutume, venue du nord, sera réprimée par l'église et la morale bourgeoise pour ne plus tolérer qu'un adultère sentimental à l'orée de la période romantique. 

  Le siècle des Lumières, qui fait revenir le corps et ses désirs au premier plan, va donner l'impulsion au processus d'individualisation. Avec la révolution de 1789, le puritanisme bourgeois succède au libertinage aristocratique, et avec lui, le romantisme va porter les sentiments aux nues. 

  Le XXe siècle marquera la naissance de l'alliance du mariage et de l'amour romantique. Jusque dans les années cinquante, lorsqu'une demoiselle plaît à un monsieur, celui-ci lui fait la cour suivant un rite social très codifié avec la panoplie de cadeaux, de compliments et de propos romantiques. S'il se sent perdu, l'Église met à sa disposition un bréviaire qui lui indique la marche à suivre. 

  "L'imagination au pouvoir" scandera la révolution sexuelle quelques années plus tard. 

  La démocratisation de la contraception avec la pilule sonne le glas de l'amour chrétien et agricole ; la sexualité s'émancipe de la procréation, nos rites amoureux vont s'en trouver bouleversés. La révolution sexuelle et l'émancipation féminine sont passées par là, l'art de la conquête à l'aube du XXIe siècle est devenu subtil et complexe. Grâce aux diverses possibilités de contraception et à leur démocratisation, la sexualité sert davantage à resserrer les liens affectifs. Exit la drague, née de la société de consommation et de la libération des mœurs, exit l'esbroufe, l'heure est à la séduction. Alors que le laps de temps s'était extrêmement réduit entre la rencontre et le passage à l'acte, le flirt « nouveau » réintroduit de la durée pour que séduction et fantasmes puissent exister. 

  Si la séduction semble moins sexuelle, chacun est clairement sexué. Les adolescentes se parent de vêtements près du corps et tout en transparence, en prenant soin d'éviter la vulgarité ; leurs corps se dévoilent laissant apparaître bijoux et tatouages ; de leur côté, les garçons utilisent davantage produits de beauté et parfums, et s'adonnent au shopping. 

  La démocratisation d'Internet multiplie les occasions de rencontres et révolutionne l'art épistolaire, c'est le retour du billet doux, mais celui-ci est plus humoristique et suggestif que romantique. 

  Après la révolution sexuelle et la transgression des tabous, les femmes ont acquis une nouvelle liberté de parole et d'attitude, ce qui leur ouvre de nouvelles possibilités de séduction, la beauté n'est plus le seul faire-valoir ; elles ont acquis leur indépendance économique, balayant dans l'élan le pilier sur lequel l'homme se reposait. 

  La libération sexuelle a compliqué la donne, désormais, on s'observe, on s'effleure en laissant planer le doute, on rit en cultivant l'ambiguïté et l'incertitude. 

  Pour Boris Cyrulnik, éthologue et psychiatre, "la nouvelle valeur de séduction est l'intelligence au sens large, fini le tape-à-l'œil, l'heure est à la délicatesse et au raffinement". 

  Les fêtes et dîners entre amis sont les terrains intimes où peut s'exercer la séduction, à ces occasions, les femmes n'hésitent plus à engager la conversation. Cependant, en France et en Corse, aujourd'hui, c'est toujours l'homme qui propose et la femme qui dispose, laissant à l'homme le soin de faire le premier pas. Si les rites amoureux se transforment, les 18-35 ans sont 83 % à voir dans le mariage un engagement pour la vie dont la première motivation est l'amour (étude BVA, janvier 2005). 

  Héritiers à la fois des Lumières et des romantiques, individualistes souffrant de "solitude existentielle" nous voici épris d'amour dans une société dépolitisée et dépassionnée, enfants de la libération sexuelle, encore engoncés dans des corps dont la sensualité reste freinée par de nombreux tabous, nous voici, alchimistes de nouveaux rites amoureux. 

  Des chats au speed dating, dans les sociétés industrialisées, jamais le nombre de célibataires n'a été si important. 

  Si chaque pays possède ses particularités amoureuses, certains rites s'internationalisent. L'heure est au speed dating, à « l'amour-Internet », aux sms et aux obligations de la Saint-Valentin. New York, capitale mondiale des célibataires, est également la capitale du blind date, rendez-vous à l'aveugle organisé par des amis communs. 

  Marque d'une civilisation pragmatique qui refuse la fatalité du célibat, le blind date est l'antidote à l'incertitude des petites annonces et à la difficulté de la rencontre. Tokyo détient le record du nombre d'agences de rencontres avec 5 000 agences. 

  À Tokyo comme à Québec, les femmes prennent de plus en plus les choses en main devant l'apathie de la gent masculine. Partout, Internet et ses sites de discussions, ses sites de rencontres et ses chats, gagne du terrain. Chaque jour, des centaines de milliers de personnes de nationalités différentes tentent le choc des cultures en se rencontrant virtuellement et elles sont de plus en plus nombreuses à passer le cap du virtuel pour se rencontrer réellement. Rencontres qui deviennent autant de nouvelles occasions de voyages et qui, parfois, se transforment en histoires d'amour. 

  Saviez-vous que le blaireau, animal monogame doit chaque année reconquérir sa compagne au printemps ? Nature ou culture ? 

  Pour Diderot, "il y a un peu de testicules au fond de nos sentiments les plus sublimes et de nos tendresses les plus épurées". Les "amours primitifs", nous rappellent l'intérêt central du sexe, puisque, ainsi que l'explique Malinowski, "il structure vie sociale, religieuse et matérielle. 

  Première leçon : même dans les sociétés les plus licencieuses en apparence il y a des règles, des tabous interdisant l'accès à un certain type de partenaires. Le sexe n'est ni sale, ni obscène, il est central". Nos religions monothéistes, pour s'imposer, ont prétendu le contraire, coinçant nos corps et abîmant nos esprits dans la culpabilité et la honte. 

 Preuve de la multiplicité des mondes qui se côtoient, aujourd'hui encore, deux millions de femmes subissent chaque année l'excision pour des motifs religieux. 

  Si l'essentiel des mariages sur terre sont encore arrangés, l'individualisation de nos sociétés pousse aujourd'hui l'homme et la femme à se réaliser pleinement ce qui entre en contradiction avec l'idéal romantique de la fusion amoureuse. Vivre ensemble tout en continuant d'exister pleinement en tant qu'individus différents, voici le défi que nous propose de relever la crise de la conjugalité et l'explosion du nombre des divorces dans nos sociétés. 

  Les nouveaux rites amoureux s'inventent en ce moment même et progressivement nous revenons sur nos rigidités culturelles : fidélité sexuelle, jalousie et possessivité sont autant de comportements hérités de nos cultures agricoles. 

  Dans nos sociétés de plus en plus virtuelles, ces schémas rigides auront-ils toujours raison d'être ? 
  
  Bientôt nous vivrons en bonne santé jusqu'à cent-vingt ans, continuerons-nous de souhaiter partager notre vie avec une seule personne ? 

  La communauté gay ouvre la voie des amours de demain avec les grandes fêtes païennes et populaires que sont devenues les Gay Pride au cours desquelles, hétérosexuels, transsexuels et homosexuels convoient ensemble dans une ambiance internationale chaleureuse, amoureuse et festive.

  L'homosexualité encore condamnée par de nombreuses religions, gagne chaque année en légitimité et s'approprie les formes de romantisme et de conjugalité de l'hétérosexualité. 

  Le développement du tourisme international ou la mondialisation ne réduiront pas la diversité des rites amoureux, ils en multiplieront sans doute le nombre. 

  C'est la mondialisation de la contraception qui, petit à petit, bouleverse chaque culture en libérant la femme de l'emprise patriarcale, en même temps qu'elle libère la sexualité de l'emprise de la procréation.

9 juillet 2011

Ne lisez pas cet article



Non franchement, ça ne vaut vraiment pas la peine. Rien que le titre. Comment l’auteur peut-il penser qu’on va s’intéresser à un texte dont le titre est à ce point répulsif ? Employer l’impératif de cette façon, c’est désobligeant. Aucun lecteur ne veut qu’on lui dise quoi faire et comment le faire. Vraiment, tout est fait dans ce titre pour faire fuir. Quand bien même un lecteur un peu curieux aurait l’idée d’aller un peu plus loin, il est évident que dès les premières lignes du texte il regrettera son erreur et partira sans demander son reste à la recherche d’un article réellement drôle ou intéressant, voire les deux. Ce n’est pas ça qui manque ici. Et encore, si l’auteur s’était contenté de trouver un titre abominable, ça passerait. Mais en plus il s’est fendu d’une introduction totalement imbécile où il semble chercher à justifier son idée de départ de la façon la plus péremptoire possible. On dirait vraiment qu’il veut vous prendre pour des cons. Et pour être bien certain que vous n’aurez aucune velléité d’aller plus loin dans sa prose, il va même jusqu’à ajouter une image dont le seul rôle est de souligner l’ineptie totale de ce qu'on appellera une tentative désespérée pour convaincre les lecteurs les plus courageux qu’il est vain de poursuivre. Au fond je t’aime bien tu sais. On n’a pas toujours été d’accord depuis le début mais c’est pour ton bien que je t’ai dit ça.

6 juillet 2011

Anthropologie : Gitans, Tsiganes, et cætera, qui sont-ils ?









D'où viennent ils ? Qui sont-ils ? Les questions ont occupés les esprits de bon nombres d’observateurs pendant des siècles. 



  On les a dits originaires de Palestine, les identifiant comme étant issus d’une des tribus d’Israël. Certains ont affirmé qu’ils venaient d’Éthiopie, d’autres d’Égypte, où, jurait-on, ils avaient construit les pyramides aux temps pharaoniques. 

  Non, ce sont les survivants de l’Atlantide, rétorquaient les plus allumés. 

  Grâce à la langue, on dénombre au moins une quinzaine de langues tsiganes, on a trouvé au moins une partie de la solution à la fin du XVIIIe siècle. La langue rom est de famille indo-européenne, héritière du sanscrit et proche des idiomes parlés en Inde. C’est donc dans cette région que le peuple rom s’est constitué.

  Quant à savoir s’il a préexisté avant son grand départ pour l’Occident ou s’il s’est formé à cette occasion, personne ne peut le dire.
 
  On trouve des similitudes entres les Roms et les Gadolia Lohars, nomades forgerons du Rajasthan ( Nord-Ouest de l'Inde ) qui se déplacent à bord de chars à bœufs dans toute l’Inde du Nord. 

  On ne saurait non plus guère expliquer avec certitude pourquoi les Roms ont pris la route voilà près d’un millénaire. Pour information : le nom « Roma » viendrait selon certains de Rama, un héros légendaire indien dont le destin fut de s’exiler. 

  Les métiers : ils sont souvent en rapport avec la chose militaire, occupation qui fut importante aux premiers temps de la présence rom en Europe, selon les chroniqueurs du passé. Organisés en compagnies, des Roms se sont illustré sur tous les champs de bataille pendant environ deux siècles au cours des conflits européo-ottomans, des guerres de religion entre catholiques et protestants, au service de tel ou tel prince… Bref, ceux-là étaient des sortes de mercenaires. 

  Parmi les occupations civiles, le dressage et le commerce des chevaux ont été importants dans la vie sociale et économique des Roms, notamment dans les Balkans occupés par les Ottomans. De ce côté du monde, certains restèrent attachés à de grandes familles en tant que domestiques. La métallurgie est aussi une activité tenant une place considérable chez les Roms. Par exemple, beaucoup furent forgerons, chaudronniers, maréchaux-ferrants, professions pouvant se pratiquer aisément lorsqu’on est nomade.

  Sédentarisés, certains se sont spécialisé dans la récolte et le traitement de la ferraille. Il y eut aussi des colporteurs, des orpailleurs, des rempailleurs de chaises, des vanniers, des ouvriers agricoles saisonniers. Mais, à la différence de beaucoup de peuples voyageurs, les Roms n’ont jamais été ni bergers, ni conquérants. 

  Qui sont les diseuses de bonne aventure, très recherchées lors des foires ou même sur le bord d’une simple route, si ce n’est des artistes du beau langage, et souvent fines psychologues ? Elles vous touchaient la main et regardaient droit dans vos yeux pour y lire ce qu’elles devaient raconter. Les praticiennes de la divination par les cartes de tarot. Autant de pratiques condamnées par les Églises catholiques et protestantes. 

  On compta également de nombreux lutteurs et montreurs d’ours ou de singes chez les gens du voyage. L’art du cirque est né en grande partie en milieu rom, chez les sinti d’Italie. En France, on connaît bien les familles Bouglione et Zavatta. Nombre de Roms sont également devenus forains. 

  Le spectacle : dans tous les sens du terme, il a été et reste une activité très visible. Le "jazz manouche" est très connu, très apprécié, comme le flamenco. Les danses et musiques ont été et restent les meilleurs passeports des gipsies. On s’est souvent posé la question de savoir s’il existait une musique typique de l’entité rom. En réalité, on ne peut que constater que les artistes tsiganes ou gitans se sont en fait adaptés aux traditions des pays d’accueil. Ils ont mélangé ces dernières à d’autres, entendues ailleurs, et certainement à un vieux fonds indien conservé de génération en génération. Les genres les plus connus se sont développés là où des Roms ont se sont installés à demeure. L’association danse-rythme-musique est essentielle. Que l’on songe simplement au flamenco. 

  Il n’est pas de musique rom sans partage, sans que l’assistance ne se fasse d’une manière ou d’une autre participante. Les contrastes sont saisissants : lenteur , rapidité, douceur , fureur. Les voix sont toujours éraillées et plaintives. La musique tsigane trouve son origine dans les vieilles traditions balkaniques, ottomanes, slaves et hongroises. C’est dans ce terreau mouvant qui, en certains points, changea souvent plusieurs fois d’occupants, que l’on a poussé les premières complaintes qui font aujourd’hui les délices des amateurs éclairés de musiques du monde. 

  L’engouement a commencé très tôt auprès des princes et des compositeurs (des romantiques comme Lizst aux modernes du XXe siècle tels que Bartok) qui se pâmaient d’admiration devant les nombreux virtuoses tsiganes – notamment les violonistes. Figurant parmi les premiers artistes d’un proto-show-business, les musiciens tsiganes se sont répandus dans toute l’Europe de l’Est et en Russie. Se produisant dans les cabarets, les solistes, orchestres et danseuses ont charmé des millions de spectateurs. Aujourd’hui encore, ce sont des Tsiganes qui animent les soirées des grandes villes de même que les bals, mariages et enterrements des campagnes. 

  À noter : le cousinage qui lie musiques tsiganes et klezmer, le folklore des juifs d’Europe orientale. 

  Le flamenco est apparu à la fin du XVIIIe siècle en Andalousie. Un cri modulé en lamentations d’hommes et de femmes accompagnés de guitaristes et de percussionnistes usant parfois d’un marteau et d’une enclume… Les puristes nomment cette musique canto jondo, chant profond. Elle est le fruit d’une combinaison de plusieurs traditions : celle des origines indiennes, les pratiques judéo-arabo-berbères andalouses et l’art de la romance venu du Nord de l’Espagne, notamment les villancicos. 

  C’est dans les cafés cantantes des gitanerias, quartiers gitans, que se sont fait connaître les premiers artistes du genre. Des danses presque statiques sont le complément indispensable de cette musique. Celle-ci bouleverse surtout lorsque se fait sentir le duende, cet état d’âme indéfinissable proche de la transe. Aussi, la polémique est dès le départ présente. Le flamenco en tant que spectacle rémunéré est considéré comme nul par les aficionados purs et durs. Pourtant, si le genre, longtemps mal perçu, s’est finalement imposé au plus grand nombre, ce fut grâce à des vedettes comme Carmen Amaya ou Camaron, ainsi que grâce à la reconnaissance de musiciens savants tels que Manuel de Falla. 

  La rumba gitane est souvent confondue avec le flamenco. Il s’agit d’un mélange de rythmes afro-cubains et de traditions andalouses inventé au milieu du XXe siècle dans les quartiers gitans de Madrid, Barcelone et Perpignan. 
  
  Les Gipsy Kings, groupe des années 1980, en ont été les plus dynamiques propagateurs à travers le monde. Le jazz manouche. Django Reinhardt (1910-1953) est la figure majeure de ce genre récent, éclos dans les années 1930 à Paris ( il jouait de la guitare avec deux doigts ). C’est un guitariste manouche, issu d’une famille de l’Est de la France. Il se passionne pour la musique moderne du moment, le jazz, en même temps que d’autres Roms guitaristes, tels que les frères Ferret, des gitans catalans. 

Ces adeptes du swing nord-américain rencontrent des artistes spécialisés dans le genre musette (mélange de traditions auvergnates et italiennes), comme les accordéonistes Jo Privat et Gus Viseur ou des interprètes formés à la musique classique à l’instar du violoniste Stéphane Grappelli. On voit ce que l’émergence du style jazz manouche doit au brassage des cultures à l’œuvre dans la capitale et ses faubourgs. 

  L’héritage de Django Reinhardt, est toujours très vivace. Ses descendants directs, ainsi que de nombreux manouches, authentiques ou d’adoption, perpétuent son style dans toute l’Europe du Nord. À Samois, en Seine-et-Marne, là où Django a fini sa vie et est enterré, un festival réunit chaque année en juin musiciens et admirateurs du génial guitariste. 

 Rom : Le seul nom que les Tsiganes se donnent eux-mêmes, c’est le nom de Rom (masc. sing.) qui signifie «homme» en hindi. Il emploient aussi Romni (au fém.) et Roma (au pluriel, masc. et fém.). Tous les autres termes servant à identifier les Tsiganes ont été donnés par des non-Roms.
  
  Habituellement, le terme de Rom désigne les Tsiganes d’Europe centrale. Tsigane : Du mot grec athinganos, tsigane signifie «celui qui ne veut pas toucher ni être touché». Le terme sert à désigner les Roms, indistinctement de leur pays d’accueil. 

  Gitan : À leur arrivée en Grèce au IXe siècle, les Tsiganes se sont regroupés dans le Péloponnèse au pied du mont Gype. Par la suite, les voyageurs italiens appelèrent ce lieu «la petite Égypte» et leurs habitants Egyptiano. Le même mot a donné Gitano en Espagne et au Portugal, puis Gitan en France et Gypsy en Grande-Bretagne. 

  En France, le mot gitan désigne les Tsiganes du Midi vivant près des Saintes-Maries-de-la-Mer. 

  Sinti : Le mot sinti désigne les Tsiganes des régions germanophones qui ont été déportés et exterminés en partie (85 %) par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale. 

  Bohémien : Les premiers Tsiganes arrivés en France venaient de la Bohême (une région de la République tchèque actuelle), d'où ce surnom. 

  Manouche : Ce terme d’origine tsigane provient du mot mnouch et signifie «homme». On dit qu’il sert à désigner la moustache (ou bien la barbiche) que porteraient la plupart des Gitans. 

  En France, les Manouches sont généralement installés près des rives de la Loire. 

  Romanichel : Le mot est un dérivé de Romani Cel en tsigane, ce qui signifie «groupe d'hommes». En français, le mot a pris par extension le sens de «vagabond» ou «personne sans domicile fixe». 

  Gens du voyage : Cette expression est utilisée afin de ne pas désigner une catégorie spécifique de Roms présente sur le territoire français. Dans la pratique administrative, l'expression est souvent employée pour désigner les Tsiganes de France, bien qu'ils ne soient itinérants que pour environ 15 % d'entre eux, et que, parmi la population itinérante en France, ils ne soient qu'une minorité.

Anthropologie : Les Papous de Papouasie-Nouvelle-Guinée








  Les Papous ont depuis longtemps, une bien mauvaise réputation, à juste titre. 

  Leur nom Papous viens du Portugais qui ont été les premiers occidentaux en contacts avec eux, il veut dire "crépu" en référence a leur chevelure. 

  Ils sont aux antipodes de l'Europe géographiquement et culturellement, installés en Nouvelle-Guinée depuis moins de 50 000 ans. Ce sont avant tout des chasseurs et des agriculteurs. 

  Accusés d'anthropophagie et noir de peaux, certains les confondes avec les africains, mais ils sont océaniens. La pratique occasionnelle de l'anthropophagie est liée à un rite magique d'appropriation de la force vitale de l'adversaire tué. 
  
  L'organisation sociale de ces tribus repose su l'affiliation parentale, remontant jusqu'à un ancêtre commun. 

  Cette civilisation est d'autant plus spectaculaire au vues de la psyché collective occidentale, que chaque mort s'accompagne d'une pratique de conservation des crânes. Ceux des ennemis dans "la maison des hommes", ceux de leur familles, dans leur propres maison, ils leur servent d'oreiller. Le crâne censé renfermer l'âme de l'être, et aide donc le Papous a prendre des bonnes décisions concernant ses affaires. 

  La guerre et la chasse sont partie prenante du quotidien des hommes, tandis que les femmes pratiquent l'agriculture et l'élevage de cochons. Aussi quotidiennement les hommes se regroupent dans une maison, et les jeunes hommes y entrent uniquement pour l'initiation, permettant à ceux ci de s'agréger au groupe des hommes, capables de prendre les bonnes décisions pour le bien de la communauté. Toutefois, dans une tribus qui s'appelle les Sépik, pour devenir un homme il faut sauter d'un promontoire de 20 à 30 mètres de haut, la tête la première.

Culture : La Suisse, le pays des montres










  Les plus grandes marques et les meilleurs horlogers sont suisses. 

  Comment cela se fait il ? 

  Pour répondre à la question il faut remonter a l'époque des réformes religieuses et des guerres de religion, au XVIe siècle. Le père fondateur du protestantisme est Martin Luther, un allemand, sa réforme explosa dans le monde germanique, et un peux partout en Europe.

  En France le philosophe et théologien Jean Calvin, particulièrement sensible au message de Luther, se voulu encore plus strict sur la pratique du protestantisme. Menacé de mort dans sa Picardie natale il s'enfuit à Genève, de là il expérimenta sa propre thèse tel un gourou il se mit en tête de créer un nouveaux mode de vie, plus strict et plus sévère que celui de ses coreligionnaires. Il fut très vite banni de la ville, alors il partit vivre ailleurs, en Suisse. 

  Pendant des années il tombe dans l'oublie jusqu'à ce que le protestantisme touche la Suisse, Genève le rappel aussitôt. Il y joua un rôle politico-religieux très important. 

  Le rapport avec les montres est le suivant : Calvin a tout de suite fais bannir le port des objets ostentatoires, en somme, les bijoux. Les orfèvres et les joailliers n'ont eut d'autres choix que de se recycler dans l'horlogerie, et c'est ainsi qu'au XVIe siècle l'industrie de la montre fut créé. 

  Pour la montre-bracelet on l'a doit a Louis Cartier et un de ses amis aviateur, en 1904, qui lui dit que ce n'était pas pratique du tout de regarder sa montre et de piloter en même temps, c'est ainsi que naquis la Swatch ( abréviation de Swiss Watch ).

Animaux : La survie des animaux à sang froid









  On sait depuis longtemps que les batraciens sont capables de vivre pendant plusieurs mois, voire des années, dans de la vase, en hibernation. 

  Ce que l'on ne sait pas, c'est comment certains de ces animaux, prisonniers dans des blocs de pierre de l'ère secondaire, ont pu survivre aussi longtemps ! 

  Ambroise Paré, médecin de Henri III de France, a rapporté dans son "Registre annuel de 1561, " : "J'étais dans mon château, près de Meudon, et j'avais demandé à un cantonnier de me casser quelques pierres. Au milieu de l'une d'elles, il trouva un énorme crapaud, plein de vie, et sans que la moindre ouverture capable de lui laisser le passage soit visible. L'ouvrier me dit que ce n'était pas la première fois qu'il découvrait un crapaud, ou de telles autres bestioles, à l'intérieur d'énormes blocs de pierres." Le "Registre annuel" rapporte également que des ouvriers de Toulon, en cassant des pierres destinées au pavage du port, auraient découvert à l'intérieur des coquillages "au goût délicieux". 

  En 1818, lors d'une conférence donnée au "Caïus College" de Cambridge, le Dr Edward D. Clarke, géologue, rapporta son étrange découverte alors qu'il recherchait des fossiles dans une carrière de craie du crétacé. A plus de 80 mètres de profondeur, ils trouvèrent un banc d'oursins et de tritons fossilisés. Trois de ces tritons semblaient en parfait état de conservation. Il les dégagea précautionneusement et les plaça sur une feuille de papier au soleil. A sa plus grande stupéfaction, ils commencèrent à s'animer. Deux d'entre eux périrent peu de temps après mais le troisième semblait si vigoureux que le Dr Clarke le mis dans une mare et ce dernier parvint à s'échapper. Le Dr Clarke déclara que non seulement ces tritons ne ressemblaient à aucun autres connus dans la région mais qu'ils étaient d'une espèce éteinte et auparavant inconnue. 

  En 1821, un tailleur de pierre travaillait un gros bloc de pierre retiré de 6 mètres de profondeur quand il trouva un lézard emprisonné dans la roche. Il était enroulé sur lui-même dans une cavité moulée exactement à sa forme. Il mesurait environs 3 centimètres de long, d'une couleur jaune-marron, une tête ronde avec des yeux extrêmement brillants. Il était apparemment mort, mais après avoir été exposé pendant 5 minutes à l'air libre, il montra des signes de vie et s'enfuit rapidement. 

  En 1835, des ouvriers qui dégageaient des blocs de grès rouge d'une profondeur de plus d'un mètre en brisèrent un contenant un crapaud vivant. L'amphibien, de taille inférieure à la moyenne, était de couleur brune et devint noir au bout de quelques minutes. Le batracien fut replacé dans sa gangue rocheuse mais périt quatre jours plus tard. 

  En 1852, à Pastwick, Derby, en Angleterre, un crapaud vivant fut libéré d'une cavité près du centre d'un rocher par des ouvriers qui creusaient pour extraire du minerai. Les ouvriers étaient tombé sur un gros rocher qu'ils durent briser pour le remonter d'une profondeur de 4 mètres. La cavité dans laquelle se trouvait le crapaud faisait près de 15 centimètre de diamètre, beaucoup plus grande que l'animal et était tapissée de cristaux sans doute du carbonate de calcium. Le crapaud mourut peu de temps après son exposition à l'air libre. 

  En 1862, un français, Alexandre Seguin a tenté une expérience intéressante. Il a emprisonné vingt crapauds dans du plâtre puis les a enterrés. Douze ans plus tard, quatre d'entre eux étaient encore en vie. Avant lui, le naturaliste français Hérissant avait réussi la même expérience en 1771-1774. Plus tard, Buckland, un anglais farouchement opposé à la réalité du phénomène avait échoué en 1825-1826. 

  En avril 1865, près de Hartlepool en Angleterre, des terrassiers découvrent un crapaud vivant à l'intérieur d'un bloc de calcaire magnésien. La cavité semble moulée sur l'animal dont les yeux sont étonnement brillants. Le batracien vivant est conservé par M. S. Horner, président de la Société d'Histoire Naturelle qui après un examen minutieux, constate que sa bouche est obturée et ses coassements sortent par ses narines, de plus ses pattes arrières sont beaucoup plus longues que celles des espèces locales. Selon les témoins, "ce crapaud était complètement décoloré et aussi pâle que la roche qui l'entourait. Cependant il prit rapidement une teinte olivâtre". Le géologue Robert Taylor a estimé que le bloc dans lequel l'amphibien a été trouvé date de 200 millions d'années. 

  Un article du "Scientific American" relate la découverte d'un crapaud prisonnier, exactement imbriqué dans un bloc de minerai d'argent par le mineur Moses Gaines. L'animal vivant, dodu, mesurait environ 8 centimètres et ses yeux étaient anormalement grands. 

  En 1958, quatre ouvriers d'une mine d'uranium de l'Utah qui dégageaient une veine de minerai enfouie sous le grès tombèrent sur un arbre pétrifié qu'ils durent faire exploser. Le tronc éclaté laisse alors apparaître une petite niche à l'intérieur de laquelle se trouve une minuscule grenouille brunâtre vivante. Elle se différencie des grenouilles modernes par le fait que ses pattes au lieu d'être palmées sont terminées par des ventouses. La cavité a la forme de la grenouille mais d'une taille supérieure d'environ un tiers, laissant penser que la grenouille aurait rétréci. L'animal meurt le lendemain. 

  En 1960, au fond d'une fosse, parmi des os de mammouth et de tigres à dents de sabre, des boules d'argile dures comme du roc renfermaient des grenouilles, certaines mortes d'autres vivantes, sans pigmentations et certaines si transparentes que l'on pouvait voir leur cœur battre. Leurs bouches étaient scellées, certaines ont explosé sans doute à cause d'une exposition trop soudaine. Les scientifiques du Smithonian Institute les ont datées de la même époque que les mammouths mais n'ont pas fourni d'explications sur la survie de certaines de ces grenouilles. 

  Le mystère reste entier... Comment ces animaux auraient-ils pu survivre aussi longtemps, sans air, ni eau, ni nourriture ? 

  Comment ces animaux auraient-ils pu résister aux énormes pressions et températures subies par les couches géologiques dans lesquelles ils ont été retrouvés ? 

  Plusieurs explications ont été avancées mais aucune n'est vraiment convaincante. 

  Peut-être que l'une des clés du mystère passe par l'étude des nombreux cas où l'on a retrouvé des batraciens emprisonnés dans des arbres. 

  Si tous ces récits sont authentiques ils rendent alors crédible un fait encore plus extraordinaire qui s'est déroulé en 1856. Près de Saint-Dizier, alors qu'ils travaillaient au percement d'un tunnel ferroviaire, dans la couche calcaire jurassique, des ouvriers en brisant un gros rocher virent une forme monstrueuse émerger de son cœur. L'animal faisait 3 mètres d'envergure avec une tête hideuse, des dents pointues, ses quatre longues pattes réunies par une membrane se terminaient par des griffes et sa peau noire, huileuse avait la consistance du cuir. L'animal essaie de s'envoler, pousse un cri rauque et s'écroule mort. Le cadavre sera présenté à un naturaliste qui l'identifiera comme étant un reptile volant de l'ère secondaire, un Ptérodactyle ! Malheureusement, ce fossile vivant a disparu et il ne reste que les coupures de journaux de l'époque pour "accréditer" cette histoire.

En conclusion, vous en pensez quoi ? Canulars ou réalité scientifique ?


5 juillet 2011

Culture : Le Village Planétaire








  La terre entière est un village global. 

  Imaginons un instant que ce village soit composé de 100 habitants. 

-  Il y aurait : 59 asiatiques 14 africains 14 américains 13 européens

- Il y aurait également 51 femmes et 49 hommes. 
 
- On compterait 50 jeunes de moins de 25 ans. 

- 20 personnes (uniquement des hommes), possèderaient 80% du village et de ses richesses. 1 femme seulement possèderait sa propre terre. 

- Entre 5 et 6 femmes auraient subi un viol. 

- 42 personnes ne boiraient jamais d'eau potable. 

- 50 personnes vivraient au sein même du petit village, 50 autres seraient éparpillés aux alentours. 

- 33 habitants vivraient une situation de conflit armé, dont 23 seraient des femmes. 

- 5 hommes et 1 femme seraient militaires, policiers, ou gendarmes. 

- 5 enfants travailleraient dans des conditions d'esclavage et 1 petite fille serait employée de maison sans être rémunérée. 

- 60 personnes sauraient lire, écrire et compter. 40 seraient des hommes. 

- 50 habitants pourraient avoir accès aux soins de santé. 

- 20 personnes auraient accès à un ordinateur, dont 15 connectées à un réseau de type internet. 

- 1 personne serait considérée comme riche, c'est à dire possèdant plus de richesses que nécessaire pour assouvir ses propres besoins et ceux de sa famille. Elle possèderait à elle seule 50% du village et de ses richesses. 

- 80 personnes auraient une religion, dont 40 seraient forcées de la pratiquer (sous la contrainte ou de par la coutume), et 20 autres ne la pratiqueraient pas. En outre, 5 personnes la pratiqueraient malgré des risques pour leur survie. 

- La bibliothèque du village ne serait accessible qu'à 24 personnes, les autres en seraient interdites. 

- Le cinéma serait visité chaque semaine par 1 personne, toujours la même. 

- L'électricité serait coupée environ 50% du temps, faute de moyens. 

- 30 personnes gaspilleraient 90% des ressources naturelles et énergétiques du village. 

- 5 personnes seraient déjà parties en vacances. On prévoierait que 10 personnes au total le feraient d'ici 5 ans. 

 Etc, etc... Les chiffres peuvent ainsi s'étaler sur des pages et des pages. Ils permettent parfois de remettre en perspective chacun de nous sur notre planète, et de mesurer ce que nous sommes, nous les humains.

Culture : Le roi de Corse, vous le connaissez ?









Juan Carlos Alfonso Víctor María de Borbón y Borbón-Dos Sicilias, mieux connu sous le nom de Juan Carlos Ier : roi d'Espagne, de Castille, de Léon, d'Aragon, des Deux-Siciles, de Jérusalem, de Navarre, de Grenade, de Tolède, de Valence, de Galice, de Sardaigne, de Cordoue, de Corse, de Murcie, de Jaen, d'Algésiras, des îles Canaries, des Indes orientales et occidentales espagnoles, des Îles et de la Terre Ferme de la Mer Océane, archiduc d'Autriche, duc de Bourgogne, de Brabant, de Milan, d'Athènes, de Neopatras, comte de Habsbourg, de Flandres, de Strasbourg, de Tyrol, de Roussillon, de Barcelone, seigneur de Biscaye et de Molina.

Cet Article date de 2011, entre temps notre bon roi a abdiqué, le nouveau roi est Felipe VI, Felipe Jean Pablo Alfonso de Todos los Santos

Santé : Cancer, veut on vraiment le soigné ?




  Il est certain que le traitement du cancer dans les circonstances actuelles coute très cher. Certains ont trouvés des solutions, mais le fait est que cela n'a pas plus a certains politiciens qui ont leur action en bourse sous forme d'entreprises de pharmacopée occidentale. 

  Autrement dit de pharmacopée de synthèses, les médicaments sont des produits de synthèses, créés en laboratoire, ils coutent chers, et tout le monde tombe malade tôt ou tard, c'est dans cet esprit que l'on évolue. 

  A chaque fois qu'un chercheur fait des recherches aboutissant a une conclusion étonnante et concrète, il se retrouve persécuté par la justice et la police, les traitants de charlatans, souvent ils saisissent tout et ce, sans enquête. Comme si l'ordre donné a la police par les politiques est, "il a trouvé un anticancéreux, un médicament contre le cancer, sa place est en prison". 

  La vérité du trou de la sécurité sociale c'est qu'il profite a une petite élite politico-économique. 

  Voici les principaux découvreurs : 

  René Jacquier, il établit l'efficacité de l'oxygénation en traitement anti-cancéreux tant préventif que curatif. Sa thèse ne fut jamais reconnue, ni même examinée, par les Académies des sciences et de médecine. 

  Antoine Priore, ingénieur électronicien, qui construisit en 1950 une machine rayonnant des champs électriques et électromagnétiques détruisant les tumeurs et les cellules cancéreuses. Malgré les preuves incontestables de son efficacité et le soutien de professeurs d'université bordelais ainsi que de Jacques Chaban-Delmas, son appareil, avec lequel il guérit clandestinement de nombreux malades, ne fut jamais agréé par les cancérologues parisiens. 

  Jean Solomidès, docteur en médecine, licencié ès-sciences, diplômé de bactériologie, chercheur à l'Institut Pasteur durant huit ans, qui inventa les "physiatrons synthétiques" destructeurs des cellules cancéreuses. Chassé de l'Institut, il ouvrit son propre laboratoire et guérit de nombreux cancéreux. L'Ordre des médecins le poursuivit pour "exercice illégal de la médecine" car il était médecin de l'Université ( non de la Faculté ), et ne pouvait donc être inscrit à l'ordre pour exercer, bien qu'ayant toutes les compétences requises. 

  Mirko Beljanski, docteur ès-sciences, chercheur en biologie moléculaire à l'Institut Pasteur pendant trente ans, puis en Faculté de pharmacie dix ans, qui inventa des produits efficaces contre le cancer ( utilisés avec profit par François Mitterrand ) ainsi que contre le sida. Il créa son propre laboratoire et il pu guérir de nombreux malades. Sur plainte de l'ordre des pharmaciens, il fut arrêté, menotté, à l'âge de 73 ans, puis persécuté judiciairement jusqu'à ce que mort s'ensuive. 

  Linus Pauling, biochimiste américain, deux fois Prix Nobel, démontra que la vitamine C à très haute dose pouvait prévenir le cancer. 

  Gaston Naessens, biologiste français, découvrit les "somatides" et inventa un anticancéreux efficace. Condamné en France il s'exila au Québec. 

  David Rees-Evans, guérisseur gallois, parvenait à détruire les tumeurs avec des cataplasmes de plantes. 

  Paul Thépenier, ingénieur pétrolier, parvint à guérir des tuberculoses et des cancers grâce à des moisissures de pétrole. 

  Pierre Delbet, grand chirurgien français, il démontra à quel point le magnésium est indispensable à notre santé et que toute carence de cet élément ouvre la porte aux troubles du métabolisme, puis à diverses pathologies et enfin au cancer. 

  Norbert Duffaut, chimiste français, réalisa en 1957 la première molécule de silicium organique, puissant régénérateur cellulaire efficace contre le cancer. 

  Georges Lakhovsky, ingénieur russe émigré en France, il créa en 1923 son premier appareil émetteur à usage thérapeutique, l'oscillateur à ondes multiples, qui put guérir de nombreux cancéreux. La médecine officielle refusa de reconnaître la valeur de l'appareil, malgré les multiples témoignages de praticiens de tous pays qui l'utilisèrent avec succès. 

  Ernest Villequez, professeur de médecine français, il découvrit le parasitisme latent du sang et inventa un test de dépistage du cancer permettant de déceler des micro tumeurs qu'aucune autre technique ne permet de découvrir. Malgré un taux de réussite de 95 %, les "grands patrons" cancérologues n'acceptèrent jamais de le pratiquer. 

  Michel Moirot, médecin français qui découvrit l'importance des traumatismes psychologiques dans la genèse du cancer. 

  Ryke Geerd Hamer, médecin allemand qui fit la même découverte que Moirot, à la suite d'un drame familial qui déclencha un cancer chez lui et chez son épouse. Il mit au point un traitement original appelé "médecine nouvelle" grâce auquel il put guérir de nombreux malades. Mais il fut radié du corps médical en Allemagne et en Autriche, puis poursuivi et condamné en France, où il est actuellement en prison. 

  Philippe Lagarde, médecin français qui perfectionna une technique de dépistage du cancer élaborée par le chercheur allemand Henri Heitan. Il mit au point un traitement anticancéreux efficace à base de produits autorisés en Suisse. Poursuivi sur plainte de l'Ordre des médecins, il fut emprisonné à Nice. À sa sortie de prison, il s'exila vers l'Italie et il créa en République de San Marino le Centre Health Service, où il dirige une équipe médicale performante pratiquant toutes les thérapies efficaces.



Santé : Les troubles psychiatriques des voyageurs









  
 Parmi les troubles psychologique et émotionnels qui peuvent atteindre les voyageurs, il existe quatre syndromes majeurs. 

  Pour commencer, le syndrome du voyageur : certains voyageurs ont des palpitations ou des bouffées délirantes en découvrant qu'un lieux dont ils rêvent depuis longtemps est réel, ce sont souvent des monuments très anciens, c'est ce qu'on appel le syndrome du voyageur. 

Le syndrome de Stendhal que l'on dénomme aussi « syndrome de Florence » est une maladie psychosomatique qui provoque des accélérations du rythme cardiaque, des vertiges, des suffocations voire des hallucinations chez certains individus exposés à une surcharge d’œuvres d’art. 

2  Le syndrome de Jerusalem, il est équivalent au syndrome de Stendhal, à ceci près qu'il ne se rapporte pas aux œuvres d'art, mais au sens religieux révélé lors du pèlerinage dans la ville sainte. Une quarantaine de personnes sont hospitalisées chaque année à l'hôpital psychiatrique, 66% étaient de confession juive, 33 % chrétiens et les 1 % restants sans religion sur les 470 personnes hospitalisées à Kfar Shaul entre 1980 et 1993. Les principaux symptômes ressentis sont les suivants : anxiété et stress, désir d'isolement, obsession de se purifier le corps (ablutions systématiques, taille des ongles), confection de toges à partir de draps, déclamation de passages de la Bible et chants sacrés, proclamation de sermons, hallucinations, et caetera. 

3  Le syndrome indien, il concerne les touristes se rendant en Inde, pays dans lequel tous leurs repères n’ont plus cours. La foule, le bruit, les odeurs, la pauvreté, les excès du climat, l’omniprésence de la mort et du mysticisme provoquent, dans le meilleur des cas, une folle envie de fuir, mais peuvent également engendrer un vacillement de la personnalité parfois accompagné de troubles psychiatriques importants. Normalement, ces symptômes cessent lorsque les personnes touchées rentrent chez elles. 

4  Et enfin, le syndrome des japonais à Paris, le trop fort décalage entre l’image que se font les Japonais de la France et la réalité. Les magazines japonais consacrés à Paris idéaliseraient un peu trop la ville. Le comportement et le langage démonstratifs des Français sont parmi les éléments les plus insupportables aux yeux des Japonais. Exprimer ouvertement son point de vue, dire "je ne suis pas d'accord", interrompre son interlocuteur, sont des attitudes contraires à l’éthique japonaise. Les femmes sont les plus touchées et supportent mal l’attitude trop latine de certains Français. Ceci dit, si vous allez au Japon vous vous rendrez compte du fossé culturel, mais pas au point d'attraper un syndrome.

4 juillet 2011

Culture : Les crânes de cristal









"En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5 kg. Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure. Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes : Éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche. Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. Après 6 mois de tests, les conclusions tombent : Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope. Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication (le cristal ne vieillit pas). Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas!), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile. La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu ! Un chercheur de l'équipe aurait déclaré : "Ce sacré truc ne devrait même pas exister!" Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies. Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy". Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire. En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise. Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute. Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C, et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins. Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix. Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment!" Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi! Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie. Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel! Ces crânes seraient-ils les ancêtres des boules de cristal? Une espèce de support d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en résonance avec le cerveau humain? Un briquet sophistiqué? Ou bien un simple objet décoratif pour honorer les ancêtres?"




Je n'ai pas l'habitude de faire ça sur mon Blog ou ailleurs, mais toute cette histoire, c'est du pipeau ! La communauté archéologique et la communauté scientifique est unanime là dessus. Par contre, le film d'Indiana Jones est entrainant et on a envie d'y croire, mais... tout est faux, tout à été inventé, rien n'est vrai. C'est une invention, une légende urbaine, un vrai canular...

Culture : Coca Cola = Vin Mariani









Dans la fin du XIXe siècle, l'usage de la cocaïne devient populaire et s'incorpore dans les cigares, cigarettes, chewing-gum, dans les boissons, et caetera... 

Dès 1870, on voit apparaître la consommation populaire de vin dans lequel sont infusées au préalable des feuilles de coca. 

En 1871, le marché est dominé par une marque restée célèbre : le vin Mariani, du nom du pharmacien Angelo Mariani qui eut l'idée de commercialiser ce vin. Inventé en Corse en 1863, issu du mélange de vin de Bordeaux et d'extrait de coca, ce vin n’est qu’une des nombreuses inventions de Mariani puisqu'en 1890 son officine du boulevard Haussmann à Paris, est fortement fréquenté par la clientèle locale. Elle propose des pastilles à la cocaïne, des infusions de coca, du vin, un élixir, des toniques et ce, en vantant la coca et ses applications thérapeutiques. 

De nombreuses personnalités des arts, de la littérature et de la politique apportent leur appui au vin Mariani. 

Les plus prestigieuses: Thomas Edison, Jules Verne, Émile Zola, le prince de Galles, monseigneur Louis Duchesne et même le pape Léon XIII, qui ne quittait pas sa fiole. 

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette boisson originale est, dans l'imaginaire collectif, un symbole de l'américanisme. Il tire son nom de sa première composition, le pharmacien John Pemberton inspiré par Mariani, crée par la suite le soda, la feuille de coca et l'utilisation de noix de kola, ajouté a de l'eau ferrugineuse. 

La boisson était alors préconisée par son inventeur, comme remède contre les problèmes gastriques (notamment les maux d'estomac et la diarrhée).

Animaux : 150 millions de tonnes de lombrics, et moi et moi et moi







En France il y aurai 150 millions de tonnes de vers de terre, on estime qu'à 80% de la vie terrestre ce sont ces bêtes affreuses. 
Plus sérieusement 80% de la masse totale de la vie sur terre seraient des simples lombrics, et dire que les hommes sont 7 milliards et les fourmis 500 milliards, ces deux genres combinés ne dépassent pas les 20%. 

3 juillet 2011

"Je t'aime!" dans toute les langues

Afrikaan : Ek het jou liefe Afrikaan : Ek is lief vir jou Akan : Me dor wo Albanais : Te dua Albanais : Te dashoroj Albanais : Ti je zemra ime Alentejano : Gosto de ti, porra ! Allemand : Ich liebe Dich Algérien : Kanbghik Alsacien : Ich hoan dich gear Amérindien: Tshe menuateten Amharic : Afekrishalehou Amharic : Afekrischaledou Amharic : Ewedishalehu (homme/femme vers femme) Amharic : Ewedihalehu (homme/femme vers homme) Anglais : I love you Anglais : I adore you Apache : Sheth she'n zho'n Arabe : Ib'n hebbak. Arabe : Ana Ba-heb-bak Arabe : Ana hebbek Arabe : Ana behibak (femme vers homme) Arabe : Ana behibek (homme vers femme) Arabe : Ahebich (homme vers femme) Arabe : Ahebik (femme vers homme) Arabe : Ana ahebik Arabe : Bahibak (femme vers homme) Arabe : Bahibik (homme vers femme) Arabe : Benhibak Arabe : Benhibik (femme vers femme ou homme vers homme) Arabe : Benhibkom (homme vers homme ou femme vers homme) Arabe : Benhibak Arabe : nhebuk Arabe (Arabe formel ) : Ohiboke (vers une femme) Arabe (Arabe formel ) : Ohiboki (vers un homme) Arabe (Arabe formel ) : Okibokoma (homme vers femme ou deux hommes vers deux femmes) Arabe (Arabe formel ) : Nohiboke (vers un homme) Arabe (Arabe formel ) : Nohiboka ( vers homme ) Arabe (Arabe formel ) : Nohibokoma (homme vers femme ou homme ou deux hommes vers deux femmes) Arabe (Arabe formel ) : Nohibokon (homme vers homme ou femmes vers deux femmes) Arabe : Ooheboki.(homme vers femme) Arménien : Yes kez si'rumem Arménien : Yar ounenal Ashanti (Ghana) : Me dor wo Assamese (Inde) : Moi tomak bhal pau Atikamekw : Ki sakihitin Autrichien : I mog di, Autrichien : I hab di gean Bari ( Langage Soudanais) : Nan nyanyar do Bari ( Langage Soudanais) :Nan nyanyar do parik Basque : Nere Maitea Basque : Maite zaitut Batak : Holong rohangku di ho Bavarois : I mog di narrisch gern Belarussien : Ya tsiabe kakhaiou (je t'aime) Belarussien : Ya vas kakhaiou (je vous aime) Belarussien : Ya pakakhau tsiabe (je suis tombe amoureux de toi) Belarussien : Ya pakakhala tsiabe (je suis tombée amoureuse de toi) Belarussien : Ya pakakhau vas (je suis tombe amoureux de vous) Belarussien : Ya pakakhala vas (je suis tombée amoureuse de vous) Bemba (Zambie) : Nalikutemwa Bemba (Zambie) : Ninkutemwe Bengalais : Ami tomAy bhAlobAshi Bengalais : Ami tomake bhalobashi. Berbère : Lakh tirikh Bicol (Philippien) : Namumutan ta ka Birman : Chi pa de Birman : Min go nga chit tay Bolivien (Quechua) : Qanta munani Bosniaque : Volim te Brésilien: Eu te amo (prononcer "eiu chee amu") Breton : da garan" (poétique - pour les amoureux) Breton : da garout a ran" (formule plus "commune" - je t'aime (bien)) Bulgare : Obicham te Bulgare : As te obicham Bulgare : Obozhavam te (je t'aime énormement, mais tendre) Cambodgien : Bon sro lanh oon Cambodgien : kh_nhaum soro_lahn nhee_ah Cambodgien : one selan bang Cambodgien : bang selan one Canadien français : j't'aime Cantonais : Ngo oi ney Catalan : T'estim (Mallorcain) Catalan : T'estim molt Catalan : T'estime (Valencien) Catalan : T'estimo Cebuano (Philippin) : Gihigugmz ko ikaw Chamoru ou Chamorro : Hu guaiya hao Cheyenne : Nemehotates Chichewas : Ndimakukonda Chickasaw (USA) : Chiholloli (i final nasal) Chinois : Goa ai li (dialecte Amoy) Chinois : Ngo oi ney (dialectecte Cantonais) Chinois : Wo oi ni (dialectecte Cantonais) Chinois : Ngai oi gnee (dialecte Hakka) Chinois : Ngai on ni (dialecte Hakka) Chinois : Wa ai lu (dialecte Hokkien) Chinois : Wo ai ni (dialecte mandarin) Chinois : Wo ie ni (dialecte mandarin) Chinois : Wuo ai nee (dialecte mandarin) Chinois : Wo ay ni (dialecte mandarin) Chinois : Wo ai ni (dialecte Putunghua Chinois : Ngo ai nong (dialecte Wu) Chti ( patois de la langue picarde ) : j't'aquiers Commorien : Ni si ou ven sa Congolais : na lingui yo Coréen : Dangsinul saranghee yo Coréen : Saranghee Coréen : Nanun dangsineul joahapnida Coréen : Nanun dangsineul mucheol joahapnida Coréen : Nanun dangsineul mucheol saranghanida Coréen : Nanun gdaega joa Coréen : Nanun neoreul saranghapnida Coréen : Nanun neoreul saranghanda Coréen : Gdaereul hjanghan naemaeum alji Coréen : Jaohaeyo Coréen : Saranghaeveyo Coréen : Saranghapanida Coréen : Norul sarang hae Coréen : Tangsinul sarang ha o Coréen : Tangsinul sarang ha yo Coréen : Tangshin-ul sarang hae hae-yo Coréen : Tangshin-i cho-a-yo Coréen : Nanun tangshinul sarang hamnida Coréen : Tangsinul sarang ha yo Coréen : Nanun tongshinun sarang hamnida Corse : Ti tengu cara (homme vers femme) Corse : Ti tengu caru (femme vers homme) Créole : Mi aime jou Créole : Mwen inméw Créole Antillais (martinique guadeloupe) : Men ainmainw Créole Haitien : mwen renmen ou mwen renmen'w Créole Mauricien : Mo content toi Créole Réunionnais : "Mi aim (ou aime) a ou" Croate (familier) : Ja te volim Croate (familier) : Volim te Croate (formel) : Ja vas volim Croate (formel) : Volim vas Croate (formel) : Ljubim te Danois : Jeg elsker dig Danois : Jeg er forelsket i dig (je suis amoureux) Davvi Semegiella : Mun rahkistin dù Duala (dialecte camerounais ) : "Na tondi wä" Dusun : Siuhang oku dia Ecossais Gallois : Tha gra dh agam ort Equatorien (Quechua) : Canda munani Espagnol (Castillan) : Te quiero Espagnol (Castillan) : Te Amo Esperanto : Mi amas vin Estonien : Mina armastan sind Estonien : Ma armastan sind Ethopien : Afgreki' Farsi : Tora dust mi daram Farsi : Asheghetam Farsi (Perse) : doostat dAram Finnois (formel) : Minä rakastan sinua Finnois(formel) : Rakastan sinua Finnois (formel) : Minä pidä sinustra Finnois : (Mä) rakastan sua Finnois : (Mä) tykkään susta Flamand : Ik hue van ye Flamand : Ik hue van dei Flamand (Néerlandais) : Ik hou van jou (passionn?ment) Flamand : ik zie je graag Français : Je t'aime Français : Je t'aime comme un fou ( Charlesbois ) Frisien : Ik hou fan dei (sp?) Frisien : Ik hald fan dei (sp?) futunien : Kuau alofa kia te koe Gaélique : Tha gradh agam ort Gaélique : Moo graugh hoo Galicien : Querote Galicien : Queroche Galicien : Amote Gallois : Rwy'n dy garu di. Gallois : Yr wyf i yn dy garu di (chwi) Georgien : Me chen mikvarxar Ghanéen (Akan, Twi) : Me dor wo Grec : S'ayapo Grec : Eime eroteumos mazi sou Grec : Eime eroteumos me 'sena (vous vers homme ou femme) Grec : Eime eroteumeni me 'sena (vous vers homme ou femme) Grec : Eime eroteumeni mazi sou Grec (supérieur) : (Ego) philo su Grec (ancien) : Philo se Groenlandais : Asavakit. Guarani : Rohiyu (ro-hai'-hyu) Gujrati (Pakistan) : Hoon tane pyar karoochhoon Gujrati (Pakistan) : Hoon tuney chaoon chhoon (n nasal, ne pas prononcer) Haussa (Niger) : Ina sonki (homme vers femme) Haussa (Niger) : Ina sonka (femme vers homme) Hawaiien : Aloha wau ia 'oe Hawaiien : Aloha wau ia 'oe nui loa ( je t'aime énormément) Hébraïque : Ani ohev otach (homme vers femme) Hébraïque : Ani ohev otcha (homme vers homme) Hébraïque : Ani ohevet otach (femme vers femme) Hébraïque : Ani ohevet otcha (femme vers homme) Hébraïque : Anee ohev otkha (homme vers femme) Hébraïque : Anee ohevet otkha (femme vers homme) Hébraïque : Anee ohev otkha (homme vers homme) Hébraïque : Anee ohevet otakh (femme vers femme) Hindi : Mae tumko pyar kia Hindi : My tumko pyar karta hu Hindi : Main tumse pyar karta hoon. Hindi : Ham Tomche Payer Kortahe Hindi : Mai tumse peyar karta hnu Hindi : Mai tumase pyar karata hun (homme vers femme) Hindi : Mai tumase pyar karata hun.(femme vers homme) Hindi : Mai tumse pyar karta hoo Hindi : Mae tumko pyar kia. Hindi : Main tuze pyar karta hoon (le n est nasal, ne se prononce pas) Hindi (Kannada) : Naanu ninnannu premisuththene Hokkien : Wa ai lu Hongrois : Szeretlek Hongrois : Szeretlek te'ged Hopi : Nu' umi unangw´ta Ibaloi (Philippin) : Pip-piyan taha Ibaloi (Philippin) : Pipiyan ta han shili (je t'aime énormément et plus) Imazighan : Halagh kem Indonésien : Saya kasih saudari Indonésien : Saya cinta kamu Indonésien : Saya cinta padamu Indonésien : Saja kasih saudary Indonésien : Aku cinta padamu Indonésien : Aku tjintaa padamu Indonésien : Aku cinta kamu Irlandais : taim i' ngra leat Irlandais/Gallois : t'a gr'a agam dhuit Islandais : Eg elska thig Italien : ti amo Italien : ti voglio beneti Italien : ti adoro Italien : sei il mio amore Japonais : Kimi o ai shiteru (très très familier) Japonais : Watakushi-wa anata-wo ai shimasu Japonais : Kulo tresno Japonais : Aishiteiru Japonais : Chuu shiteyo Japonais : Ora omme no koto ga suki da Japonais : Ore wa omae ga suki da Japonais : Suitonnen Japonais : Sukiyanen Japonais : Sukiyo Japonais : Watashi wa anata ga suki desu Japonais : Watashi wa anata wo ai shithe imasu Japonais : A-i-shi-te ma-su Javanais : Kulo tresno Kabile : Hemlar kem (vers une femme) Kabile : Hemlark (vers un homme) Kankana-ey (Philippin) : Laylaydek sik-a Kannada (Inde) : Naanu Ninnanu Preethisuthene Kannada (Inde) : Naanu Ninnanu Mohisuthene Kikongo : Mono ke zola nge Kirundi ( Burundi ) : Ndagukunda Kiswahili : Nakupenda Klingon : bangwI' Soh Klingon : qaparHa' Klingon : qamuShá Klingon : qaparHáqu' Kpele : I walikana Kurde : Ez te hezdikhem Kurde : Min te xushvet Kurde : Min te xoshvet (dialecte du sud) Kurde : AZI DA TA HAZDAKAM ( région Elbistan ) Laosien : krao mak tiao Laosien : Khoi huk chau Laosien : Khoi hak joa Laosien : Khoi hak chao Laosien : Khoi mak joa lai Laosien : Khoi mak joa Laosien : Khoi hak joa lai Lari (Congo, région du Pool) : Ni kou zololo Latin : Te amo Latin : Vos amo Latin (ancien) : (Ego) Amo te Latvien : Es tevi milu (prononcer 'es tevy meelu') Latvien : Es milu tevi (langage commun) Libanais : Anna Bahibak Lifou ( Ile de la Loyauté ) : ENI A NEMI EO Lingala (Congo) : Nalingi yo Lingala (Congo): Na lingui yo Lithuanien : Tave myliu Lisbonne (argot de) : Gramo-te bue', chavalinha ! Lojban : Mi do prami Luo ( Kenia) : Aheri Luxembourgeois : Ech hun dech gär Maa : Ilolenge Macédonien : Te sakam Macédonien : Te ljubam Macédonien : Jas te sakam Macédonien : Pozdrav Madrid (argot de) : Me molas, tronca Maiese : Wa wa Malais : Saya cintamu Malais : Saya sayangmu Malais : Saya sayang anda Malais : Saya cintakan mu Malais : Saya sayangkan mu Malais : Saya chantikan awak Malais : Aku sayang kau Malais : Saya sayangmu Malais/Bahasa : Saya cinta mu Malais/Indonésien : Aku sayang kau Malais/Indonésien : Saya chantikan awah Malais/Indonésien : Saya sayangkan engkau Malais/Indonésien : Saya chantikan awah Malais/Indonésien : Aku cinta pada kau Malais/Indonésien : Aku cinta pada mu Malais/Indonésien : Saya cinta oada mu Malais/Indonésien : Saya sayangkan engkau Malais/Indonésien : Sayah chantikan awah Malayalam : Ngan ninne snaehikkunnu Malayalam : Njyann ninne' preetikyunnu Malayalam : Njyaan ninnne mohikyunnu Malayasien : Saya cintamu Malayasien : Saya sayangmu Malayasien : Saya cinta kamu Malgache : Anno Tioko Malgache : Tiako iano Malgache : Tianao aho Mandarin : Wo ai ni Marathi : maaza tujyaavar prem aahe Marathi : Mi tuzya var karato Marathi : Me tujhashi prem karto (homme vers femme) Marathi : Me tujhashi prem karte (femme vers homme) Maré ( Ile de la Loyauté ) : Inû tchi a la bo Marocain : Kanbhik Marocain : Kanhebek Marquisien : Hinenao ua'u ia oe Marshallais : Yokwe Yuk Mauricien : Mo mari cotan toi Mongol : Be Chamad Hairtai (très intime) Mohawk : Konoronhkwa Mooré (Burkina Faso) : Mam nonga fo Moyi (Congo Brazzaville) : Gakakayo Munukutuba (Congo, Sud) : Mu zola mgé Munukutuba (Congo, Sud) : Mou zolagué Navajo : Ayor anosh'ni Ndebele (Zimbabwe): Niyakutanda Néerlandais : Ik hou van jou (passionn?ment) Népalais : Ma timi sita prem garchhu (romantique) Népalais : Ma timilai maya garchhu (non romantique) Norvégien : Jeg elskar deg (Bokmaal) Norvégien : Eg elskar deg (Nynorsk) Norvégien : Jeg elsker deg (Bokmål) (prononcer : yai elske dai) Nyanja : Ninatemba Occitan gascon : Que t'aimi Occitan languedocien : T'aimi Op : Op lopveao yopuop Oriya : Moon Tumakoo Bhala Paye Oriya : Moon Tumakoo Prema Kare Oromoo : Sinjaladha Oromoo : Sinjaldha Osetien : Aez dae warzyn Ourdou (Inde) : Mujge tumae mahabbat hai Ourdou (Inde) : Main tumse muhabbat karta hoon Ourdou (Inde) : Mujge tumse mohabbat hai Ourdou (Inde) : Kam prem kartahai Ouzbek : Man seni sevaman Pakistanais : Muje se mu habbat hai Pakistanais : Muje stumse mahabbat hai Papiamento : Mi ta stimábo Pedi : Kiyahurata Perse : Tora dost daram Pig Latin : Ie ovele ouye Picard : ej t'ei kier Picard : ej te vô voléntié Philippinin : Mahal ka ta Philippinin : Mahal kita Philippinin : Iniibig Kita Poitevin-Saintongeais : i t'aeme Polonais : Kocham ciebie Polonais : Ja cie kocham Portugeais/brésilien : Eu te amo Portugeais: Eu amo-te Portugeais : Amo-te Provencal rhodanien (Mistralien) : T'ame Punjubi (Inde) : Main tainu pyar karna Punjubi (Inde) : Mai taunu pyar kardar Quenay : Tye-melane Réunion ( créole ) : Mi aime a ou Roumain : Te iubesc Roumain : Te ador Russe : Ya lioubliou tiebia (je t'aime) Russe : Ya tiebia lioubliou (je t'aime) Russe : Ya vas lioubliou (je vous aime) Russe : Lioubliou tiebia (je t'aime) Russe : Ya polubil tiebia (je suis tomb? amoureux de toi) Russe : Ya polubila tiebia (je suis tomb?e amoureuse de toi) Russe : Ya lioubliou tiebia (je t'aime) Scanien (Skånska) : Jâ hóllor âw di Scanien (Skånska) : Jâ ty´tjor omm di Samoen : Ou te alofa outou Samoen: Ou te alofa ia te oe Samoen : Talo'fa ia te oe Samoen : Fia moi ? Sancrit : Anugrag Sénégalais (mancagne) : Di Ngalou Sénégalais (wollof) : Da mala beugeu Sénégalais (wollof) : Da mala nop Serbe (formel) : Ja vas volim Serbe (formel) : Volim vas Serbe (formel) : Ljubim te. Serbe (familier) : Ja te volim Serbe (familier) : Volim te Serbe (ancien) : Ljubim te (langage poétique) Serbo-Croate : Volim te Serbo-Croate : Ljubim te Serbo-Croate : Ja te volim SeSotho : Kiyahurata (prononcer ky-ya-hoo-rata) Shona : Ndinokuda Singalais (Ceylan) : Mama oyata adarei Singalais (Ceylan) : Mama oyata aadareyi Sioux : Techihhila Somalien : Waan ku jaycahay Soussou ( Guinée Conakry ) : ira fan ma Sovaque : Lubim ta Slovène : Ljubim te Srilankais : Mama oyata arderyi Strasbourgeois (variante alsacienne) : Ich hoab dich gearn (amical) Strasbourgeois (variante alsacienne) : Ich hoab dich leb (beaucoup plus tendre) Sudanais ( Bari ) : Nan nyanyar do Sudanais ( Bari ) : Nan nyanyar do parik Suaheli (Ouest Afrique) : Ninikupenda Swahili : Naku enda Swahili : Naku penda Swahili : Ninikupenda Swahili : Dholu'o Suédois : Jag älskar dig Suédois : Iaj Alskar Dej Suédois : Jag är kär i dig (je suis amoureux) Suisse allemand : Ch'ha di gärn Syrien/Libanais : Bhebbek (vers une femme) Syrien/Libanais: Bhebbak (vers un homme) Tagaloge : Mahal kita Tahitien : Ua Here Vau Ia Oe Tahitien : Ua here vau ia oe Tamoul : Naan unni kathilikaran Tamoul : Ni yaanai kaadli karen Tamoul : Naan unnai kadalikiren Tamoul : Nan unnai kathalikaren Tamoul : N^an yaanai kaadli karen Tamoul : Nam vi' remberem Tchèque : Miluji te Telugu (Inde) : Neenu ninnu prámistu'nnanu Telugu (Inde) : Nenu ninnu premistunnanu Telugu (Inde) : Ninnu premistunnahu Thaï (formel) : Ch'an rak khun (femme vers homme) Thaï (formel) : Phom rak khun (homme vers femme) Thaï (formel) : Phom-ruk-koon (homme vers femme) Thaï (formel) : Chum-ruk-koon (femme vers homme) Thaï : Khoa raak thoe (affection, amour, tendresse) Tibétain : na kirinla gaguidou Timide : heeuuu ! ... (suivi d'un long silence) Tshiluba : Ndi mukasua Tshiluba : Ndi musua wewe Tshiluba : Ndi ne ditalala bua wewe Tswama : Ke a go rata Tunisien : Ha eh bakn Tunisien : Nhebbek Tumbuka : Nkhukutemwa Turc : Seni seviyorum Turc : Seni begeniyorum (très tendre) Ukrainien : Ya tebe kokhaiou (je t'aime) Ukrainien : Ya vas kokhaiou (je vous aime) Ukrainien : Ya pokkhav tebe (je suis tombé amoureux de toi) Ukrainien : Ya pokokhav vas (je suis tombé amoureux de vous) Ukrainien : Ya pokokhala tebe (je suis tombée amoureuse de toi) Ukrainien : Ya pokokhala vas (je suis tombée amoureuse de vous) Unuit (Esquimo) : Ounakrodiwakit Vai : Na lia Värmländska : Du är görgo te mäg Verlan : meait'je (forme apprenti) Verlan : emia ai't ej (forme plus complexe) Vietnamien : Em yeu anh (femme vers homme) Vietnamien : toi yeu anh Vietnamien : Toi yeu em Vietnamien : Anh yeu em (homme vers femme) Vilie (Congo) : Mi bekuzola Volapük : Löfob oli Vulcain : Wani ra yana ro aisha wallisien : Au ofa ia koe Wallon : Dji vos veu volti Wallon : Dji vos inme Wallon : Dji v'zinme Wollof : Da ma la nope Wollof : Da ma la nop Yiddish : Ich libe dich Yiddish : Ich han dich lib Yiddish : Kh'hob dick lib Yiddish : Kh'ob dikh holt Yiddish : Ikh bin dir farlibt Yucatec maya : 'in k'aatech (entre amants) Yucatec maya : 'in yabitmech (pour presque tous) Yougoslave : Ya te volim Zazi (Kurde) : Ezhele hezdege (?) Zoulou : Mina Ngithanda Wena (rarement utilisé) Zoulou : Ngiyakuthanda Zuni : Tom ho' ichema