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4 juillet 2011

Culture : Les crânes de cristal









"En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5 kg. Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure. Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes : Éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche. Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. Après 6 mois de tests, les conclusions tombent : Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope. Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication (le cristal ne vieillit pas). Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas!), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile. La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu ! Un chercheur de l'équipe aurait déclaré : "Ce sacré truc ne devrait même pas exister!" Il existe d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies. Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés "psy". Jo Ann Parks est détentrice de "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne à la croix reliquaire. En 1996, tous les trois ont accepté de prêter leur crâne au British Muséum à fin d'expertise. Cinq crânes ont été étudiés, les trois précédemment cités, ainsi que celui du British Muséum et celui du Smithonian Institute. Un gobelet de cristal daté d'au moins 500 ans av. J.C, et un crâne moderne fabriqué en 1993 en Allemagne par Hans-Jürgen Henn ont servi de témoins. Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Quant au crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix. Et... silence ! Pour "Max" et "Sha-Na-Ra" : "No Comment!" Depuis, les autorités du British Muséum refusent obstinément non seulement de livrer leurs conclusions mais également de dire pourquoi! Une légende Maya est attachée à ces crânes de cristal : lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie. Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel! Ces crânes seraient-ils les ancêtres des boules de cristal? Une espèce de support d'information, venu du fond des âges, pouvant se mettre en résonance avec le cerveau humain? Un briquet sophistiqué? Ou bien un simple objet décoratif pour honorer les ancêtres?"




Je n'ai pas l'habitude de faire ça sur mon Blog ou ailleurs, mais toute cette histoire, c'est du pipeau ! La communauté archéologique et la communauté scientifique est unanime là dessus. Par contre, le film d'Indiana Jones est entrainant et on a envie d'y croire, mais... tout est faux, tout à été inventé, rien n'est vrai. C'est une invention, une légende urbaine, un vrai canular...

Culture : Coca Cola = Vin Mariani









Dans la fin du XIXe siècle, l'usage de la cocaïne devient populaire et s'incorpore dans les cigares, cigarettes, chewing-gum, dans les boissons, et caetera... 

Dès 1870, on voit apparaître la consommation populaire de vin dans lequel sont infusées au préalable des feuilles de coca. 

En 1871, le marché est dominé par une marque restée célèbre : le vin Mariani, du nom du pharmacien Angelo Mariani qui eut l'idée de commercialiser ce vin. Inventé en Corse en 1863, issu du mélange de vin de Bordeaux et d'extrait de coca, ce vin n’est qu’une des nombreuses inventions de Mariani puisqu'en 1890 son officine du boulevard Haussmann à Paris, est fortement fréquenté par la clientèle locale. Elle propose des pastilles à la cocaïne, des infusions de coca, du vin, un élixir, des toniques et ce, en vantant la coca et ses applications thérapeutiques. 

De nombreuses personnalités des arts, de la littérature et de la politique apportent leur appui au vin Mariani. 

Les plus prestigieuses: Thomas Edison, Jules Verne, Émile Zola, le prince de Galles, monseigneur Louis Duchesne et même le pape Léon XIII, qui ne quittait pas sa fiole. 

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, cette boisson originale est, dans l'imaginaire collectif, un symbole de l'américanisme. Il tire son nom de sa première composition, le pharmacien John Pemberton inspiré par Mariani, crée par la suite le soda, la feuille de coca et l'utilisation de noix de kola, ajouté a de l'eau ferrugineuse. 

La boisson était alors préconisée par son inventeur, comme remède contre les problèmes gastriques (notamment les maux d'estomac et la diarrhée).

Animaux : 150 millions de tonnes de lombrics, et moi et moi et moi







En France il y aurai 150 millions de tonnes de vers de terre, on estime qu'à 80% de la vie terrestre ce sont ces bêtes affreuses. 
Plus sérieusement 80% de la masse totale de la vie sur terre seraient des simples lombrics, et dire que les hommes sont 7 milliards et les fourmis 500 milliards, ces deux genres combinés ne dépassent pas les 20%.